Tant pis pour l'impératif comique. La thèse,
Tant pis pour l'impératif comique. La thèse, c'est une grande tranche de solitude tartinée d'ennui.
Tant pis pour l'impératif comique. La thèse, c'est une grande tranche de solitude tartinée d'ennui.
On sent bien la désespérance du doctorant quand il passe une heure chez un acupuncteur avec des aiguilles piquées partout dans le crâne pour essayer de se remotiver.
A ce stade-là ça irait plus vite si l'acupuncteur écrivait directement la thèse.
Un slogan pour un régime à base de poulet : KILL TWO STONES WITH ONE BIRD
J'ai de l'avenir dans le marketing. Plus que dans la recherche, de toute évidence.
Dix minutes sur l'infernal Deezer, pour ne pas le citer : entre "Flow my tears" and "Woeful heart", l'obligatoire et non moins tonitruant message publicitaire "AVALANCHE DE TARTIFLETTE CHEZ FLUNCH!"
Way to kill the mood.
Une vague odeur de chou de Bruxelles et de white spirit flotte dans l'appartement. Seconds, any one?